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Association humanitaire et scientifique pour le Burkina Faso.
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L’Ă©cotourisme et les expĂ©ditions scientiïŹques sont les ingrĂ©dients du succĂšs de ce petit campement.
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Synonymie invalidée avec Eurycnema goliath Gray, 1834
Synonymies : | Acrophylla osiris (,) | Ctenomorpha osiris (,) | Diura osiris (,) |
Eurycnema cercata Redtenbacher, 1902 | Eurycnema stenocerca Redtenbacher, 1908 |
Par Cameron Die Konigin : Texte paru dans The Phasmid Study Group Newsletter N 97 Decembre 2003 - Traduction Bruno Biron avec l’aimable autorisation de l’auteur . (with sincerely acknowledgements Cameron ! Bruno B.)
Les photos prĂ©sentĂ©es ne faisaient pas partie de l’article publiĂ©. Un grand merci Ă Paul D. Brock et Jerome Le Maistre et W & S Roddom’s pour leur contribution.
Origine : Australie
Introduction : Mes expĂ©riences avec les Eurycnema goliath ont Ă©tĂ© publiĂ©es dans le dernier bulletin d’informations du PSG, et je pensais qu’il Ă©tait appropriĂ© dâen faire un sur l’Eurycnema osiris, car bien que les espĂšces soient trĂšs semblables Ă beaucoup d’Ă©gard, elles ont des diffĂ©rences considĂ©rables. Avoir les deux articles qui paraissent successivement permettrait de comparer les informations. J’ai obtenu cette espĂšce en mĂȘme temps que les Eurycnema Goliath Ă la rĂ©union du PSG en Ă©tĂ© 2002 sous forme d’oeufs. Du fait d’un long cycle de la vie, je vois juste Ă©clore les jeunes de ma propre production d’oeufs, donc quelques-unes des informations prĂ©sentĂ©es sont basĂ©es sur ce que j’ai pu obtenir d’autres collecteurs et de la littĂ©rature.
Des deux espĂšces, celle-ci est pour moi la plus belle et certainement non moins impressionnante. C’est encore l’Eurycnema goliath qui est le plus connu, il est facile de trouver des donnĂ©es sur Internet et dans la littĂ©rature. On peut penser avec optimisme que, quand l’Eurycnema osiris sera largement Ă©levĂ©, cela changera. Un dernier point : noter que l’Eurycnema osiris ne fait actuellement pas parti de la liste de culture du Phasmids Study Group et par consĂ©quent il n’a pas de numero de PSG.
Histoire Naturelle : l’Eurycnema osiris est une espĂšce endĂ©mique Australienne, retrouvĂ©e dans la partie nord de l’Australie, en partie supĂ©rieure de l’Australie de l’ouest, et Ă travers le Territoire du nord jusqu’au Queensland du nord. Voir rĂ©fĂ©rence 1. Dans son milieu naturel, son alimentation inclut Acacia et Eucalyptus comme d’autres espĂšces, sachant qu’ils sont souvent trouvĂ©s dans la canopĂ©e, Voir rĂ©fĂ©rence 2. Il semble que par le passĂ© il y a eu beaucoup de confusions quant Ă la validitĂ© de l’identification entre les espĂšces Eurycnema osiris et Eurycnema goliath et c’est seulement rĂ©cemment qu’elles ont Ă©tĂ© correctement reconnues et sĂ©parĂ©es.
Ćufs : Bien que les oeufs soient trĂšs diffĂ©rents de ceux de l’Eurycnema goliath, ils sont conformes aux Ćufs de phasmes habituellement rencontrĂ©s avec une capsule sur laquelle on trouve la plaque micropylaire et un capitulum.
Les oeufs ressemblent Ă des haricots secs, mesurent approximativement 5mm de long et sont lisses et brillants marron clair tachĂ©s de brun orange. Le marron pĂąle de la plaque micropylaire est en forme de poire celle-ci est entourĂ©e par une bande brune plus sombre. Comme c’est souvent le cas avec les oeufs de phasmes, ils foncent Ă l’humidifiĂ© et avec l’Ăąge donc le temps que les jeunes Ă©mergent ils deviennent marron foncĂ©.
Jeunes rĂ©cemment Ă©clos :Les Ćufs Ă©closent habituellement pendant la nuit et les jeunes peuvent ĂȘtre assez actifs, surtout quand ils sont dĂ©rangĂ©s en se dĂ©plaçant rapidement. Les jeunes sont dĂ©jĂ grands et mesurent 25 mm de long , ils sont marron orange sombre, ce qui n’est pas une marque distinctive. Les cerques sont dĂ©jĂ remarquables et restent un trait marquant dans l’apparence de cet insecte.
DĂ©veloppement : aprĂšs la 2Ăšme mue, ils dĂ©veloppent une coloration diffĂ©rente, la couleur devient plus pĂąle, marbrĂ©e, Ă base d’orange pĂąle, gris et marron. Le mouchetĂ© peut varier grandement d’un jeune Ă l’autre, alors que quelques-uns peuvent ĂȘtre tout Ă fait ordinaires d’autres peuvent ĂȘtre trĂšs marquĂ©s d’une maniĂšre attrayante.
L’effet marbrĂ© donne des qualitĂ©s de camouflage superbes, et il peut ĂȘtre difficile de les voir. J’ai remarquĂ© dans mes Ă©levages, que les E. osiris jeunes sont plus clairs mais cependant plus richement colorĂ©s que les E.goliath, avec la couleur orange qui est plus prĂ©dominante dans cette espĂšce. Les jeunes E. goliath ont tendance Ă ĂȘtre plus sombres et brun gris.
Une autre diffĂ©rence, que l’on rencontre chez l’E. osiris adulte, est le dĂ©veloppement alĂ©atoire de petites Ă©pines sur le thorax. Le nombre de ces Ă©pines peut ĂȘtre de quatre Ă dix et ce, plus que n’importe quel autre critĂšre, permet d’identifier les jeunes des deux espĂšces s’ils doivent ĂȘtre mĂ©langĂ©s ensemble. On ne peut les sexer que lorsque les caractĂšres sexuels commencent Ă se dĂ©velopper, gĂ©nĂ©ralement Ă la troisiĂšme mue ; c’est mieux d’avoir plusieurs jeunes ensemble afin qu’ils puissent ĂȘtre comparĂ©s. Les mĂąles ont tendance Ă ĂȘtre plus sveltes, avec sur le dessous de l’abdomen une Ă©bauche d’organe gĂ©nital, qui forme comme une petite bosse vers la fin. Cette petite bosse deviendra plus prononcĂ©e au fur et Ă mesure des mues. Les cerques sont aussi plus petits chez les jeunes mĂąles.
EURYCNEMA OSIRIS ADULTE . Les jeunes, comme avec les E. goliath, sont dĂ©jĂ assez remarquables mais ce n’est rien comparĂ© Ă la vue impressionnante des adultes, surtout les femelles. Ce peut ĂȘtre frustrant d’attendre et de rater de voir la derniĂšre mue surtout qu’habituellement elle se passe la nuit, mais les adultes sont tellement spectaculaires. J’ai trouvĂ© les adultes de cette espĂšce trĂšs calmes, sans tendances dĂ©fensives agressives, comparĂ© aux Eurycnema goliath. Il y a de belles photos d’E osiris dans en position dĂ©fensive dans le livre de Paul Brock, The Amazing World of Stick and Leaf Insects Voir rĂ©fĂ©rence 3.
MĂąle adulte :
Comme il est habituel chez les phasmes mĂąles, les E. osiris mĂąles ont une mue de moins que les femelles mais, comme ils ont une durĂ©e de vie de deux - trois mois, ils sont encore vivants le temps que les femelles du mĂȘme Ăąge accomplissent leur derniĂšre mue. Bien que l’E. osiris mĂąle soit presque identique Ă E. goliafh dans sa forme, sa couleur est assez diffĂ©rente, et les mĂąles des deux espĂšces peuvent ĂȘtre identifiĂ©s facilement. La longueur est 12.5 centimĂštre (tĂȘte Ă la pointe d’abdomen, sans inclure les cerques) avec des antennes de 3.5 centimĂštre de long et avec une couleur globale du corps vert olive - marron. La tĂȘte a une raie pĂąle sous chacun des yeux composĂ©s avec prĂ©sence des yeux simples (ocelles) en haut. Les deux antennes sont claires, vert pĂąle. Le thorax est lĂ©gĂšrement Ă©pineux en surface et ces aspĂ©ritĂ©s peuvent varier d’un mĂąle Ă un autre, certains en ont quatre tandis que d’autres en ont jusqu’Ă sept. Ces aspĂ©ritĂ©s sont aussi variables en dimension. La partie supĂ©rieure du thorax est orange trĂšs pĂąle et des raies vertes courent vers le bas de la tĂȘte aux ailes.
Beaucoup de plus petites Ă©pines se trouve aussi en dessous en ventral, habituellement par paires et sont prĂ©sentes rĂ©guliĂšrement, approximativement dix. L’abdomen est vert olive brun sans marque, et terminĂ© par des cerques fins. Les ailes sont la partie la plus colorĂ©e de l’insecte et s’Ă©tendent approximativement au deux tiers de l’abdomen. Les ailes antĂ©rieures sont courtes, vert clair, avec des raies blanches et rouilles. Les ailes postĂ©rieures mesurent approximativement 7 cm long, fermĂ©es elles sont vert clair, des bandes blanches et oranges courant tout le long.
Le dessous des ailes postĂ©rieures coriaces est rouge brillant et fournit un contraste avec le reste de l’insecte. Les ailes, une fois ouverte, exposent une membrane turquoise transparente avec des veines accentuĂ©es par leur coloris plus sombre. Les pattes fines et Ă©pineuses sont de la mĂȘme couleur marron vert olive que le reste du corps, avec des Ă©pines successivement de plus en plus grandes, Ă peine notables sur les pattes antĂ©rieures, raisonnablement visibles et tranchantes sur les pattes mĂ©dianes, pour finalement ĂȘtre plus grandes sur les pattes postĂ©rieures. Les Ă©pines des pattes mĂ©dianes et postĂ©rieures sont assez tranchantes pour se piquer dans la peau de votre doigt.
Les mĂąles sont assez actifs et peuvent, si on leur donne la possibilitĂ©, se dĂ©placer avec rapiditĂ© pour sortir par une porte de cage ouverte et sont beaucoup plus rapides que les femelles plus grandes et plus volumineuses. Ils ont aussi tendance Ă grimper vers le haut, d’oĂč les observations dans la littĂ©rature que cette espĂšce est souvent trouvĂ©e au sommet des arbres Voir rĂ©fĂ©rence 2. Ils peuvent voler quand le terrarium est ouvert et prendre occasionnellement un peu de libertĂ©.
Femelle adulte :
La femelle adulte est un insecte trĂšs impressionnant et beau, un des plus attirants que j’ai rencontrĂ© et je pense personnellement qu’elle a une apparence plus Ă©lĂ©gante que son cousin proche E. goliath. La femelle adulte est beaucoup plus grande que le mĂąle, mesure 20 centimĂštre de la tĂȘte Ă la pointe de l’abdomen, augmentĂ© par des antennes de 2,5 centimĂštre long et aussi par l’operculum (voir ci-dessous) qui la grandit de 2,5 cm au-delĂ de la fin de l’abdomen.
La femelle est entiĂšrement verte pĂąle et mate, c’est comme si l’insecte Ă©tait recouvert d’une trĂšs mince couche de poudre blanche. La tĂȘte est vert-jaune pĂąle avec une bande verte Ă©paisse qui traverse chaque Ćuil composĂ©. La partie supĂ©rieure verte pĂąle du thorax porte la plupart des traits distinctifs de cette espĂšce : une raie rose qui court du centre de la tĂȘte jusqu’aux ailes ; c’est pourquoi la couleur verte du reste de l’insecte ressort vraiment.
Entourant cette raie on trouve approximativement dix Ă©pines turquoises, bien que ce nombre puisse varier entre individus. Le face ventrale du thorax est orange pĂąle avec Ă©pines turquoises qui se produisent par paire, qui lui donne une apparence rayĂ©e. L’abdomen est complĂštement vert partout, diffĂ©rant par consĂ©quent considĂ©rablement de E. goliath qui a des raies blanches et roses distinctives autour de chacun des segments abdominaux.
FermĂ©es, les ailes sont vert pĂąle avec quatre petites raies roses trĂšs pĂąles, une sur chaque aile antĂ©rieure, une sur chaque aile postĂ©rieure. Les dessous des bords externes des ailes est rouge clair, et ne peuvent ĂȘtre vus seulement une fois qu’ils ont Ă©tĂ© ouverts (voir rĂ©fĂ©rence 3). La partie membraneuse des ailes prĂ©sente un beau vert transparent avec des veines plus sombres. Les pattes sont partout orange pĂąle avec des taches vertes et Ă©pineuses comme pour le mĂąle. Les Ă©pines des pattes antĂ©rieures sont les plus petites, elles sont plus importantes sur les mĂ©dianes ; les plus grandes sont sur les tibias des pattes postĂ©rieures, bien qu’elles ne soient pas aussi grandes et plus uniformes en taille que celles d’ Eurycnema goliath. Comme avec les E. goliath, les jointures (le coxae) oĂč les pattes de derriĂšre joignent le thorax est noir.
Ćufs et Ă©closions : je conserve mes oeufs sur une couche de vermiculite humide, dans un rĂ©cipient bien aĂ©rĂ© recouvert avec un tissus « Ă mailles  ». Ils sont vaporisĂ©s avec de l’eau pour les humidifier tous les deux Ă trois jours, cependant le tissus « Ă mailles  » leur permet de sĂ©cher trĂšs rapidement, en un jour ou deux. Quand ils Ă©closent, les jeunes sont transfĂ©rĂ©s dans de plus grands rĂ©cipients approvisionnĂ©s en Eucalyptus frais. D’expĂ©rience, les meilleures feuilles Ă utiliser sont celle de la saison en cours pas quand elles sont complĂštement dĂ©veloppĂ©es mais encore jeunes et tendres. Les plus vieilles feuilles de l’Eucalyptus peuvent devenir Ă©paisses et se tannent avec l’Ăąge et par consĂ©quent ne sont pas facilement acceptĂ©es.
AprĂšs avoir reçu les « fournĂ©es » originales d’Ćufs d’Eurycnema osiris et d’E. goliath, ceux d’E. osiris ont Ă©clos en un espace de temps trĂšs court et tous en un mois ou deux. Ceux d’E. goliath, ont aussi Ă©clos peu aprĂšs mais certains ont continuĂ© Ă Ă©clore, un an et demie aprĂšs les avoir reçus originairement. Je ne sais pas si ces diffĂ©rences sont rĂ©guliĂšres entre ces 2 espĂšces, il y aurait besoin de recherche supplĂ©mentaire, mais je recommanderais que quand il reste des oeufs de l’une ou l’autre de ces espĂšces, de les garder jusqu’Ă ĂȘtre sĂ »r qu’aucun ne puisse encore Ă©clore.
L’Eurycnema osiris est, pour plusieurs raisons, lĂ©gĂšrement plus difficile Ă Ă©lever que l’Eurycnema goliath, les jeunes ont un taux de mortalitĂ© Ă©levĂ©e et sont beaucoup plus lents dans leur dĂ©veloppement, en Ă©tant adulte un mois plus tard que les E. goliath. Cette espĂšce, d’aprĂšs mon expĂ©rience, est aussi plus encline aux difficultĂ©s pendant la derniĂšre mue, et je peux dire qu’ approximativement un jeune sur cinq Ă rencontrĂ© quelques difformitĂ©s qu’il a parfois complĂ©tĂ©, par exemple avoir des ailes chiffonnĂ© ou un membre perdu. Est-ce dĂ » Ă des conditions d’Ă©levage inappropriĂ©es ? je ne sais pas. J’Ă©lĂšve cette espĂšce en conditions trĂšs sĂšches. Elever le taux d’humiditĂ© pour amĂ©liorer les rĂ©sultats est quelque chose que j’essaierai dans le futur.
L’Elevage Quand les jeunes se dĂ©veloppent, ils sont transfĂ©rĂ©s dans une cage adaptĂ©e selon leur grosseur et une fois assez grand, dans ce que j’appelle la ’cage adulte’. Comme les femelles adultes ont une grande dimension, la cage des adultes peut atteindre 0,9 m en hauteur pour tenir compte d’une rĂ©ussite adĂ©quate quand Ă la derniĂšre mue. La cage est faite principalement de grillage afin que l’humiditĂ© soit maintenue Ă son minimum, et que l’air circule librement. C’est le conseil qui m’a Ă©tĂ© donnĂ© quand j’ai reçu les oeufs : garder l’humiditĂ© Ă un minimum pour Ă©lever cette espĂšce, et cela m’a Ă©tĂ© utile. Aucun chauffage spĂ©cial n’est exigĂ©, la tempĂ©rature de la piĂšce paraĂźt plus qu’adĂ©quat, avec des variations comprises entre 21-25°C.
RĂ©gime Alimentaire l’Eucalyptus est l’alimentation principale. Je les ai nourri avec une gamme d’Eucalytus sp aussi bien qu’avec E. gunii omniprĂ©sent, toute les espĂšces offertes ont Ă©tĂ© mangĂ©es. L’Acacia a aussi Ă©tĂ© donnĂ© quand j’en ai eu de disponible, et a Ă©tĂ© pris aisĂ©ment. En dĂ©pit de la dimension des adultes, ils ne paraissent pas consommer beaucoup comme on s’y attendrait, et l’Eucalyptus a gĂ©nĂ©ralement besoin d’ĂȘtre remplacĂ© avant qu’il est Ă©tĂ© beaucoup mangĂ©. L’eucalyptus a une durĂ©e de vie de coupe d’approximativement une semaine. Les insectes sont trĂšs rarement vaporisĂ©s avec l’eau ; toute l’humiditĂ© dont ils ont besoin vient des feuilles qu’ils mangent. La seule occasion qu’une vaporisation ce soit montrĂ©e salutaire a Ă©tĂ© pendant un temps trĂšs chaud. Une note de prudence - L’Eucalyptus, quand il meurt et sĂšche, est d’apparences trĂšs semblable a celle de branches fraĂźche et vivante. A de rares occasions, j’ai observĂ© que les plus grands jeunes et adultes essayaient de se manger les uns et les autres, en se prenant pour de la nourriture fraĂźche. Les parties les plus susceptible d’ĂȘtre mangĂ©, sont les grands cerques des femelles, bien que cela ne m’ai pas paru causer trop de mal, c’Ă©tait plutĂŽt disgracieux.
Les E.goliath et les E.osiris ont Ă©tĂ© mis en synonymie par Vickery 1983, mais dĂšs 1974 ils Ă©taient confondus dans la littĂ©rature. Donc il y a une pĂ©riode au moins de 24 ans oĂč les spĂ©cimens ont Ă©tĂ© marquĂ© avec un faux nom...
Les oeufs d’E. osiris sont lisses et plus ovoĂŻdes,
Les oeufs d’E. goliath sont rugueux et cylindrique.
La femelle d’E. osiris est avec du vert et du jaune.
La femelle d’E. goliath de est avec du vert , blanc et pourpre.
Voir aussi l’excellent site de Peter Miller consacrĂ© aux espĂšces australiennes
Voir aussi : http://www.geocities.com/chris123yh/eurycnema/eurycnema.htm
REFERENCES
1. Brock, P.D. (1998) Studies on the stick-insect genus Eurycnema Audinet-Serville (Phasmida ; Phasmatidae) with particular reference to Australian species. Journal of Orthoptera Research 7 : 61-70.
2. Brock, P.D. (1999) The Amazing World of Stick and Leaf Insects. Amateur Entomologist 26 : i-xvi + 1-165.
3. Brock, P.D. (2000) New record for the Goliath Stick Insect Eurycnema goliath from the Northern Territory Australia. Phasmid Study Group Newsletter 84 : 13.